Aide juridictionnelle et choix d’un avocat pour le recours CNDA
J’ai reçu le refus de l’OFPRA en janvier 2016 [...]
J’ai reçu le refus de l’OFPRA en janvier 2016 [...]
Par contre, j’ai déposé une demande pour l’Aide Médicale d’État (AME) à la CPAM sur la Canebière, j’y suis allée avec une amie qui m’a aidé, mais je n’ai pas encore reçu de réponses [...]
Le problème c’est qu’en regardant le site web de la Préfecture, avec ma copine, on n’y comprend rien ; ça a été plutôt la CIMADE qui nous a permis d’avancer, en nous disant de quoi nous avions besoin et quels étaient nos droits [...]
Je suis allé à Médecins du Monde, la Cimade m’a orienté vers eux [...]
J’ai demandé l’asile à Marseille [...]
En même temps, je me suis adressé à la CAF pour m’informer sur les Aides Personnalisées au Logement (Apl) : après des heures de queue, je tombe sur une employée spécialement désagréable qui me dit : « Vous les Italiens, Espagnols et Portugais, vous pensez d’avoir les mêmes droits que les français ! », et puis : « Mais vous êtes mal barrés, à Marseille ! Avant vous, il y a beaucoup d’Algériens, Tunisiens, etc [...]
Imaje Santé est une association qui se trouve à Marseille [...]
C’est seulement au bout de quatre ans et demi que j’ai eu une carte de séjour [...]
Quand j’ai fini par m’inscrire au Pôle Emploi, j’ai eu du mal à comprendre le fonctionnement : je pense avoir été radié 2 fois en quelques mois, parce que je ne faisais pas la démarche d’actualiser mon dossier tous les mois, sachant que rien n’avait changé dans mon statut… je continuais à chercher mon premier emploi en France, donc en plus, je n’avais aucun droit en tant que chômeur [...]
Un mois après le premier RDV, j’avais à nouveau un rdv à la Préfecture, du moment que mon premier permis de séjour arrivait à échéance [...]
Terminés les études, on arrive à ma condition actuelle : j’ai un titre de séjour temporaire dénommé « étudiant après master professionnel en recherche de travail » [...]
Quand on est arrivé un homme afghan est venu vers nous à la gare, ils nous ont demandé d’où nous venions et nous a emmené à sa maison [...]
Le lendemain de mon arrivée, je suis allée à la Plateforme, on a été reçu le jour même [...]
Au CADE ils m’ont expliqué que je n’avais pas de choix, je devais rentrer au Japon pour pouvoir demander un visa français [...]
Du point de vue humain, en particulier grâce à la musique, je peux dire que je n’ai vraiment pas eu de souci, au contraire [...]
Après notre rendez vous à la Plateforme Asile nous sommes restés deux semaines dans la rue, c’était très froid… j’ai dit que nous étions à la rue et le Monsieur qui travaille à la Plateforme a pris notre numéro de téléphone pour nous rappeler pour une solution d’hébergement… jusqu’à maintenant je n’ai pas de nouvelle… Je pensais que ce serait normal que le personnel de la Plateforme Asile me demande si j’avais besoin de manger ou d’un hébergement et toutes les affaires privées comme la santé… mais quand je suis sorti de la Plateforme je pensais « pourquoi le personnel ne m’a pas posé ces questions »… ? Note de l’Observatoire Asile : Ali est sorti de la PADA avec un rendez vous GUDA à 54 jours sans aucune orientation pour répondre à ses besoins quotidien [...]
Même pour l’ADA j’ai dû insister auprès de l’OFII : au bout de 45 jours de retard, ils ont fait un mail de relance pour que mon allocation soit enfin versée [...]
La PADA me dit d’aller à l’ADDAP 13, j’y vais avec mon frère 2/3 fois par semaine mais là bas ils ne font rien, juste me faire signer un cahier pour dire que je suis venu [...]
Pour nous alimenter et avoir des produits d’hygiène, la Plateforme nous a orienté vers le Secours Populaire mais ils n’avaient plus rien sauf un paquet de couches…
J’ai d’abord cherché des formations en France qui auraient pu me correspondre [...]
Quand je suis arrivé à Marseille, les premiers jours je suis resté à la Gare [...]
Une fois que j’aurai mon passeport pakistanais, l’état italien me donnera un visa avec un code différent, contenant deux lettres (je suppose « UE ») qui certifient que je peux bien bouger et travailler en Europe [...]
J’étais arrivée en France avec un visa touristique et après j’ai du rentrer au Maroc pour demander un visa étudiant [...]
C’est donc grâce à la Cimade que j’ai pu débloquer ma situation, et encore plus en amont, grâce aux personnes qui m’ont parlé d’elles : des japonais qui tiennent des restaurants japonais au centre-ville, l’Okasan et le Tako San [...]
C’est clair qu’au début, je ne comprenais pas tout des façons de s’exprimer et des codes d’ici… avec le temps, par exemple, j’ai compris comment m’adresser au Pôle Emploi, qui m’avait initialement impressionné avec ses bureaux tout neufs et ses ressources matérielles [...]
Je félicite Robert du Secours Catholique, lui il m’aide [...]
Après avoir perdu mes papiers, la sécurité sociale (CPAM) me demandait un titre de séjour [...]
En février la Préfecture m’a placé en procédure Dublin, ils m’ont donné un papier d’1 mois, puis 4 mois, puis 4 mois puis ils m’ont donné le papier qui me disait que je devais repartir en Italie [...]
C’est qu’au début du mois d’août qu’on a enfin eu l’argent (1er versement de l’ADA) c’est presque 30 jours après l’enregistrement [...]
Depuis notre arrivée on a dormi dans la rue devant à la Gare Saint Charles [...]
Normalement un demandeur d’asile, après le passage à la Plateforme Asile (PADA), pour aller à la Préfecture (GUDA) doit attendre autour de 3 jours [...]
Le lendemain de notre arrivée, on est allé à la Plateforme Asile mais la PADA ne reçoit pas l’après-midi pour l’enregistrement, ils nous ont dit de revenir le lendemain entre 8h et 8h30 pour s’inscrire sur la liste des nouveaux demandeurs d’asile [...]
À Strasbourg, La Préfecture m’a donné une attestation de demandeur d’asile qui me donnait le droit de résider en France pendant 6 mois [...]
Je me suis concentré sur les bonnes rencontres [...]
Radija et Esmat viennent de nous rejoindre à Marseille [...]
On a l’impression que rien n’est figé au niveau des procédures : une fois, un employé de la CPAM m’a demandé ma carte vitale italienne, en me disant que ça allait permettre de compléter mon dossier en France [...]
Avec le récépissé, on a le droit de travailler, mais c’est tout, on n’a pas le droit aux aides [...]
En tant que réfugié tu as les droits sociaux, c’est à dire le RSA [revenu de solidarité active], ou l’aide médical, l’hébergement [...]
Le jour où à la PADA on m’a expliqué la procédure Dublin j’ai dit que j’étais malade, la personne de la PADA a téléphoné à la Timone qui a confirmé que j’étais malade [...]
Pendant 6 mois on avait des rdv réguliers chaque trois semaines en Préfecture jusqu’au 6ème mois quand ils nous ont expliqué que la Belgique a refusé la reprise en charge et alors on pouvait commencer la procédure d’asile en France [...]
N’ayant pas de contacts à Marseille, j’ai choisi de me rendre en Suisse, où j’ai des amis et des connaissances originaires de ma ville [...]
Le médecin a fait des certificats médicaux expliquant que je dois être suivi ici et que je ne doit par être renvoyé en Italie [...]
Dix jours avant le mariage, le visa est prêt : au moment de le retirer, je lis sur le document qu’il s’agit d’un « VISA France », l’espace Schengen n’y figurait pas [...]
En voyant tout ce monde à l’OFII et en constatant qu’aucune solution d’hébergement m’était proposée, j’ai renoncé… Entre temps j’avais eu la chance de connaître des gens du Collectif Soutien Migrants – El Manba, et grâce à ce réseau j’ai pu rentrer dans un squat, où je dors encore à présent [...]
Pour ma sœur, on a appelé de nombreuses fois le 115 mais ils disaient qu’il n’y a pas de place, ils demandent est ce qu’elle a des enfants et ils disent « sorry we don’t have place », on a essayé tellement de fois, et quand elle disait qu’elle a pas d’enfant ils répondaient qu’il n’y a pas de place… Comme elle n’a pas d’enfant elle a prit ma fille pour avoir une place en hôtel… Je sais que c’est pas bien, nous ne sommes pas habitué à mentir mais nous n’avons pas de solution…C’est trop dur de la voir comme ça… Finalement ma sœur a dit la vérité là où elle dort avec notre fille, et ils ont dit qu’ils allaient réfléchir à ça…
Pour ce qui concerne l’hébergement (pour demandeurs d’asile), aucune solution m’a été proposée par les institutions : j’ai fais 4 tentatives, en me rendant à l’OFII tôt le matin [...]
Nous avons redemandé un hébergement en montrant les papiers du Médecin de la PASS Rimbaud (Dzemail a eu une opération importante en Serbie [...]
Environ un mois après avoir demandé l’asile, j’ai obtenu un logement, par le CADA – Centre d’Accueil pour Demandeur d’Asile [...]
À la mi-septembre j’ai reçu un message de l’OFII pour me dire que j’avais perçu 124,80 euro, correspondant aux 4 derniers jours du mois d’août [...]
Après 3 renouvellements, il est possible de demander une carte de séjour de 10 ans [...]
Au début la PADA ne nous a pas inscrits pour aller au restaurant Noga… Aujourd’hui ça fait 3 mois que nous n’avons plus l’ADA Nous avons été hier à l’OFII, ils nous ont dit que nous allions recevoir ce mois-ci pour un mois et que nous aurions les 2 mois manquants le mois suivant [...]
Depuis 3 nuits on a eu accès à une Mosquée pour la nuit [...]
Grace au service civique chez AFLAM j’ai fait connaissance de beaucoup de gens, j’ai aussi fait des rencontres importantes à la Dar Lamifa (ndr: aujourd’hui simplement « La Dar« ) [...]
La Préfecture m’a placé en procédure Dublin, du moment que mes empreintes ont été prises en Bulgarie, et m’a dit que je ne pouvais pas avoir de logement tant que j’étais en procédure Dublin [...]
A la Plateforme, ils nous ont donné un rendez-vous pour la Préfecture , presque un mois après… La PADA n’a pas appelé pas le 115 pour nous [...]
Après le master, il est possible d’obtenir l’ autorisation provisoire de séjour (APS), une possibilité de séjour qu’on donne aux diplômés de Master en France pour leur permettre de trouver un travail [...]
Depuis que je suis là (nda [...]
Je suis allé rencontrer la CIMADE, qui m’a aidé pour préparer mon recours [...]
Finalement la Plateforme nous a donné le document pour aller chez le docteur (CMU), ils nous ont dit qu’avec ce document nous pouvons aller chez le docteur gratuitement [...]
À la nouvelle PADA ils m’ont dit qu’ils ne faisaient plus de « services sociaux » [...]
Au commissariat, ils m’ont pris les empreintes, ils m’ont fait un procès verbal et ils m’ont donné une convocation pour la Préfecture [...]
L’impossibilité de rentrer à Diyarbakir signifie aussi l’abandon de ma carrière universitaire, alors que j’étais à deux examens de la fin de mon parcours [...]
On est retournés à la Plateforme […] pour faire la demande à la DRDJSCS et là ils ont enregistré notre demande d’hôtel [...]
A la Plateforme ils m’aident pas [...]
L’information pour mon permis de séjout je l’ai cherchée au 66 rue St Sébastien, c’est la Préfecture pour les étrangers [...]
Avant de venir en Europe je cherchais des bénévolats sur un site qui s’appelle HelpX [...]
Quand on était à Marseille la première fois je suis allé dans une association qui s’appelle CADE, c’est un centre d’aide pour les étrangers [...]
L’OFII m’a donné le CERFA « Dossier médical du demandeur d’asile – certificat médical confidentiel » : c’est pour mon état de santé et pour avoir un hébergement (évaluation de sa « vulnérabilité », en vue d’une orientation vers un hébergement pour demandeurs d’asile – « demande d’adaptation de ses conditions matérielles d’accueil pour des raisons médicales ») [...]
“No Borders” (n [...]
Une fois que j’ai trouvé une chambre, j’ai galéré beaucoup pour demander les APL [Aide Personnalisé au Logement] [...]
Depuis mon passage au GUDA (fin août 2017), j’ai eu deux rendez-vous avec la Plateforme, un pour la CMU et l’autre pour les explications de la procédure Dublin [...]
Le visa étudiant dure un an [...]
Ce qui m’a vraiment aidé ça a été de parler français et de bien savoir m’exprimer [...]
Deux jours après, lors d’un deuxième rendez-vous en Préfecture, j’ai pu parler de mes conditions de santé ; on m’a donné un certificat médical pour l’OFII [...]
Je suis arrivé en Europe, précisément en Allemagne, en 2010 [...]
Je perçois l’argent de l’OFII (nda [...]
Initialement j’étais très méfiante envers les associations qui sont supposées t’aider dans tes démarches ; je voulais résoudre mes problèmes toute seule, en m’y penchant dessus, en posant les bonnes questions aux différents interlocuteurs [...]
Le premier problème à Marseille c’était le logement: la majorité des jeunes kurdes que j’ai rencontré habitaient avec leurs familles, leurs parents, et il n’avaient pas moyen de m’héberger [...]
Le récépissé [de demande de carte de séjour] me permettait aussi, enfin, de signer des contrats de travail en France : jusque-là j’avais travaillé dans des restaurants japonais, dans la cuisine [...]
Pour essayer d’y voir plus clair, je me suis rendue à la CIMADE, où j’ai eu un bon accompagnement [...]
Les gens du Kurdistan Centre m’ont expliqué que, pour déposer une demande d’asile, il fallait passer par la Plateforme Asile, qui fixe un rendez-vous à la Préfecture [...]
L’OFII veut parler en français et je dis « Non, je parle anglais », mais elle insiste pour le français [...]
J’ai eu l’ADA (allocation pour demandeur d’asile) pendant 4 mois, le temps de l’instruction de la réadmission en Bulgarie (Procédure Dublin) [...]
Quelque mois après je reçois les documents, mais ce n’est qu’un récépissé provisoire… c’est chouette un récépissé ! Sauf que les employeurs n’acceptent pas de t’embaucher si tu ne peux pas présenter un vrai titre de séjour [...]
A la Préfecture ils m’ont mis en Dublin, Italie [...]
On a pas été orienté vers NOGA, on m’a dit qu’il n’y avait plus de place au restaurant social… on s’est débrouillé… on achète des part de pizzas à Noailles avec un peu d’argent qu’on a…
Ma demande d’asile va très probablement être rejetée, puisque je ne peux pas suffisamment prouver les risques liés à mon activisme dans mon Pays, et en plus, en parlant avec d’autres Angolais, j’ai appris qu’aucune demande posée par mes compatriotes n’a été acceptée [...]
Les sites web des institutions françaises sont trop compliqués, on a l’impression de lire des lois, il n’y a jamais un petit schéma qui te permet d’avoir l’information clés [...]
Quand je suis arrivé quelqu’un m’a amené à la Plateforme, j’y suis allé tout de suite et ils m’ont donné un rdv à la Préfecture le 6 semaines plus tard (nda [...]
Maintenant je touche l’ADA, mais avant de toucher l’ADA j’avais des gros problèmes pour me nourrir [...]
C’est important que les enfants aillent à l’école, pour leur stabilité mais c’est très compliqué de se débrouiller seule pour trouver de l’aide et faire les démarches d’inscription à l’école [...]
Mon employeur avait besoin de mon numéro de sécurité sociale, pour remplir le dossier de mon contrat (et de mon côté, j’avais aussi besoin d’une carte vitale, au cas où il m’arrive quelque chose…) [...]
C’est le moment où j’ai été le plus proche de recevoir une Obligation de quitter le territoire français (OQTF)…qui à l’époque s’appelait encore « Invitation de quitter… » [...]
J’ai demandé à la Plateforme comment on allait faire après les 10 nuits données par le 115… ils m’ont répondu qu’il fallait voir directement avec le 115, alors j’ai appelé le dernier jour… mais ils ont refusé parce qu’on avait déjà eu les 10 nuits… Au téléphone j’ai dit que j’avais un enfant malade, un bébé d’un an et demi, un fils de 2 ans et demi et que ma femme est enceinte de 8 mois,mais ils ont refusés, quand même [...]
En tant que demandeur d’asile, j’aurais eu droit à une place en Centre d’accueil de demandeurs d’asile (CADA), mais à la Plateforme Asile on m’a toujours dit qu’à Marseille il n’y avait pas de places disponibles, que je pouvais m’inscrire sur les listes d’attente, mais que, en tant que jeune majeur isolé, je n’avais pas de chances d’avoir une place [...]
Je suis allé à la PADA, on m’a donné un rendez vous pour enregistrer ma demande [...]
Je ne sais pas comment ça va se passer d’ici le mois d’avril, et surtout après [...]
Début avril nous avons été à la Préfecture pour donner nos empreintes [...]
Je suis resté jusqu’en juillet 2017 [...]
Cette année j’ai travaillé à temps partiel pour une librairie, pour une association de commerce équitable qui est en train de développer un projet de vente de livres (en contrat aidé) et dernièrement j’ai commencé à travailler à l’Alcazar, pour remplacer des employés pendant la période des vacances [...]
A la Plateforme Asile, j’ai ressenti la volonté de travailler pour accompagner les demandeurs, mais j’ai aussi constaté que cela était juste impossible, en raison des moyens insuffisants, par rapport à la quantité de cas à traiter [...]
Une famille soudanaise qu’on connaissait de l’Italie […] nous a expliqué comment faire pour demander l’asile et nous a dit qu’on devait aller à la Plateforme [...]
Avec le changement de statut, le renouvellement de mon titre de séjour (toujours d’un an) s’est fait plus facilement [...]
Pour manger nous sommes allé au Restaurant NOGA pour 1 mois, puis on a dû arrêter car il n’y avait plus de place [...]
Sur le cours Julien, il y a le Restaurant Noga, qui sert des repas aux personnes en situation de précarité, mais il faut être envoyé par des structures d’accompagnement social [...]
En tant qu’Allemand, tu ne dois pas aller à la Préfecture pour te déclarer ou demander un titre de séjour ; ma pièce d’identité allemande est reconnue et me donne le droit d’être en France [...]
Je suis allé à la Préfecture, à 6 heures du matin, pour faire la queue pour demander mon permis de séjour [...]
Pour ce que j’ai appris, il y a plusieurs cas de figure pour obtenir un permis de séjour pour motifs professionnels : tu peux présenter une demande en tant que travailleur indépendant (auto entrepreneur), ou bien salarié, ou bien comme employé dans le secteur culturel [...]
J’ai regardé parfois les sites institutionnels, on y retrouve une information précise sur les papiers à fournir, par exemple, mais pas beaucoup plus [...]
Pour l’inscription au cours de langue de l’ADEF, j’avais fourni une pièce d’identité italienne, sur laquelle figurait néanmoins ma nationalité pakistanaise… Mais en Italie j’avais un permis de séjour illimité ! Je ne pensais pas d’être clandestine en venant en France ! Ils m’ont dit que si je pouvais présenter une lettre officielle qui affirmait que j’avais le droit de travailler partout en Europe ils auraient débloqué mon dossier : je suis allée en Italie, j’ai demandé à l’assistante sociale qui me suivait à la Mairie du village… mais tout le monde me disait que ce type de document n’existait pas [...]
En 2014, j’ai commencé à penser à venir m’installer à Marseille ; je suis japonais et j’avais encore le visa allemand, et je pensais que ça me donnait le droit de le faire [...]
Je suis avec ma famille [...]
Le problème pour moi c’était que je devais me rendre au Japon en septembre, et je n’étais pas sûr que le récépissé [de demande de titre de séjour] me donnait le droit de le faire, on me donnait des informations contradictoires par rapport à ça [...]
L’employée de la Préfecture nous a répondu : « Mais vous êtes mariés ! Vous n’avez plus besoin de permis de séjour, il vous suffit de votre livret de famille [...]