Asile : RDV au GUDA anticipé pour motifs de santé
Quand je suis arrivé à Marseille, les premiers jours je suis resté à la Gare [...]
Quand je suis arrivé à Marseille, les premiers jours je suis resté à la Gare [...]
Peut-être que mon expérience de la résidence universitaire, universitaire ne reflétera pas la réalité des choses [...]
Pour la lecture gratuite il y a quelques boites à livres dans les rues de Marseille [...]
La première chose pour essayer de te poser à Marseille c’est vraiment essayer d’être toi-même, d’être présent, c’est à dire de ne pas être emporté par les faux semblants [...]
En même temps, j’ai commencé à faire du volontariat au sein d’une association qui s’appelle La Cloche Marseille qui aide les personnes sans abri [...]
Les diplômés des classes préparatoires marocaines préfèrent poursuivre leurs études dans les grandes écoles françaises [...]
Une fois que j’aurai mon passeport pakistanais, l’état italien me donnera un visa avec un code différent, contenant deux lettres (je suppose « UE ») qui certifient que je peux bien bouger et travailler en Europe [...]
À cette époque je visais le secteur de l’hôtellerie [...]
J’étais arrivée en France avec un visa touristique et après j’ai du rentrer au Maroc pour demander un visa étudiant [...]
C’est donc grâce à la Cimade que j’ai pu débloquer ma situation, et encore plus en amont, grâce aux personnes qui m’ont parlé d’elles : des japonais qui tiennent des restaurants japonais au centre-ville, l’Okasan et le Tako San [...]
A midi on allait manger avec toute la famille au restaurant Noga [...]
J’ai appelé au 115, le matin dès 8h, presque 4 fois j’ai essayé et finalement ils m’ont donné 1 mois à la Madrague… mais malheureusement c’est n’est vraiment pas un bon endroit là -bas, il n’y a pas de personnes normales, 6 personnes par chambre, beaucoup de vols, j’ai perdu 2 fois mon portable là bas [...]
Je félicite Robert du Secours Catholique, lui il m’aide [...]
Pendant les mesures de confinement liées au COVID-19, tous les cours de français donnés en ville sont suspendus [...]
Dans les locaux d’Espace Asso j’apprends le français, je suis des cours à l’association Solidarité Provence Afghanistan ; je participe aussi aux cours d’une autre association, vers le Vieux Port, nommée Osons la Charité [...]
J’ai passé mon bac l’année dernière finalement [...]
Je suis des cours dans plusieurs endroits : à La Friche, sur le boulevard Baille à L’Amicale du Nid, à Tétraccord et au Manba [...]
Entre temps, j’avais déjà commencé à fréquenter la Casa Consolat, et c’est là qu’on m’a conseillé de m’adresser à la Mission Locale, avenue de Toulon, sachant qu’à l’époque, je n’avais pas encore 26 ans (c’était la limite d’âge pour bénéficier des services proposés par ce genre de structure, aujourd’hui je crois qu’ils l’ont passée à 30 ans) [...]
En arrivant d’Italie je pensais m’inscrire aux cours de langue de l’ADEF, qui sont en plus rémunérés [...]
Avant de comprendre qu’il me fallait un numéro d’assisté français, j’ai perdu du temps en essayant d’utiliser ma Carte Européenne d’Assurance Maladie (en Italie l’équivalent de la carte vitale a été remplacé il y a plus de dix ans par ce document) [...]
Après avoir perdu mes papiers, la sécurité sociale (CPAM) me demandait un titre de séjour [...]
Au bout de 2 mois, je me sentais assez à l’aise pour parler en français et chercher un emploi ; j’ai traduit mon CV en français et j’ai commencé à le faire circuler un peu dans toute la ville [...]
Pour le travail, j’ai aussi été aidé par l’ADDAP13, des éducateurs de rue qui m’ont aidé à écrire mon CV et l’ont postérieurement donnée à la Régie Nord, à Saint Louis [...]
En février la Préfecture m’a placé en procédure Dublin, ils m’ont donné un papier d’1 mois, puis 4 mois, puis 4 mois puis ils m’ont donné le papier qui me disait que je devais repartir en Italie [...]
C’est qu’au début du mois d’août qu’on a enfin eu l’argent (1er versement de l’ADA) c’est presque 30 jours après l’enregistrement [...]
Depuis notre arrivée on a dormi dans la rue devant à la Gare Saint Charles [...]
Normalement un demandeur d’asile, après le passage à la Plateforme Asile (PADA), pour aller à la Préfecture (GUDA) doit attendre autour de 3 jours [...]
Le lendemain de notre arrivée, on est allé à la Plateforme Asile mais la PADA ne reçoit pas l’après-midi pour l’enregistrement, ils nous ont dit de revenir le lendemain entre 8h et 8h30 pour s’inscrire sur la liste des nouveaux demandeurs d’asile [...]
À Strasbourg, La Préfecture m’a donné une attestation de demandeur d’asile qui me donnait le droit de résider en France pendant 6 mois [...]
Je me suis concentré sur les bonnes rencontres [...]
La Cité des Métiers est une institution, située entre le Vieux Port et le quartier du Panier, et ils ont des listes de toutes les professions et formations professionnelles qui y correspondent, partout en France [...]
Un africain croisé à la gare m’a dit que je pouvais appeler le 115 le 3éme jour [...]
Mais au bout de quelque mois où je perçevais mes APL, des problèmes de différentes natures se succédaient, causant l’interruption des aides [...]
Un conseil : profiter des lieux publics et ouverts, comme par exemples les bibliothèques ou les plages [...]
On a l’impression que rien n’est figé au niveau des procédures : une fois, un employé de la CPAM m’a demandé ma carte vitale italienne, en me disant que ça allait permettre de compléter mon dossier en France [...]
Avec le récépissé, on a le droit de travailler, mais c’est tout, on n’a pas le droit aux aides [...]
En tant que réfugié tu as les droits sociaux, c’est à dire le RSA [revenu de solidarité active], ou l’aide médical, l’hébergement [...]
J’ai une carte de bibliothèque, je vais à l’Alcazar, comme j’ai pas d’endroit où rester je vais là -bas… pour éviter de traîner tout le temps à la Gare Saint Charles…
Le matin à 5h je vais à la Gare St Charles et j’attends pour du travail [...]
Le jour où à la PADA on m’a expliqué la procédure Dublin j’ai dit que j’étais malade, la personne de la PADA a téléphoné à la Timone qui a confirmé que j’étais malade [...]
Pendant 6 mois on avait des rdv réguliers chaque trois semaines en Préfecture jusqu’au 6ème mois quand ils nous ont expliqué que la Belgique a refusé la reprise en charge et alors on pouvait commencer la procédure d’asile en France [...]
N’ayant pas de contacts à Marseille, j’ai choisi de me rendre en Suisse, où j’ai des amis et des connaissances originaires de ma ville [...]
Le médecin a fait des certificats médicaux expliquant que je dois être suivi ici et que je ne doit par être renvoyé en Italie [...]
Dix jours avant le mariage, le visa est prêt : au moment de le retirer, je lis sur le document qu’il s’agit d’un « VISA France », l’espace Schengen n’y figurait pas [...]
Les mercredi après-midi les enfants (et les adultes) peuvent venir lire des livres, sous la Halle Puget, à Belsunce [...]
Quand on est arrivé à Marseille c’était l’été donc c’était super cool d’aller à la plage, dans les calanques, tous les endroits naturels [...]
En voyant tout ce monde à l’OFII et en constatant qu’aucune solution d’hébergement m’était proposée, j’ai renoncé… Entre temps j’avais eu la chance de connaître des gens du Collectif Soutien Migrants – El Manba, et grâce à ce réseau j’ai pu rentrer dans un squat, où je dors encore à présent [...]
Pour ce qui concerne l’hébergement (pour demandeurs d’asile), aucune solution m’a été proposée par les institutions : j’ai fais 4 tentatives, en me rendant à l’OFII tôt le matin [...]
Nous avons redemandé un hébergement en montrant les papiers du Médecin de la PASS Rimbaud (Dzemail a eu une opération importante en Serbie [...]