La recherche du Kurdistan Centre de Marseille
Le problème est que, depuis le meurtre des trois militantes kurdes à Paris, en 2013, les centres culturels kurdes à l’étranger vivent cachés, par crainte des services secrets turcs. Il m’était donc impossible de les contacter à l’avance. J’ai demandé à des personnes qui participaient à l’échange culturel Erasmus+ s’ils avaient des contacts avec les communautés kurdes marseillaises, et j’ai eu de la chance: quelques jours après, j’étais en contact avec le Kurdistan Centre marseillais.