Des procedures parfois arbitraires
On a l’impression que rien n’est figé au niveau des procédures : une fois, un employé de la CPAM m’a demandé ma carte vitale italienne, en me disant que ça allait permettre de compléter mon dossier en France. En réalité ça n’a rien débloqué et surtout, on ne me l’a jamais redemandée après… c’était juste cet employé, ce jours-là, qui affirmait pouvoir s’en servir.