Aliments et couches pour bébés au Secours Populaire
Pour nous alimenter et avoir des produits d’hygiène, la Plateforme nous a orienté vers le Secours Populaire mais ils n’avaient plus rien sauf un paquet de couches…
Pour nous alimenter et avoir des produits d’hygiène, la Plateforme nous a orienté vers le Secours Populaire mais ils n’avaient plus rien sauf un paquet de couches…
À cette époque je visais le secteur de l’hôtellerie [...]
A midi on allait manger avec toute la famille au restaurant Noga [...]
Je me suis concentré sur les bonnes rencontres [...]
Exemple d’expérience collecté lors d’un atelier photographique [...]
Quand on est arrivés à Marseille, c’était sur Belsunce, au début avec Mohammed, j’avais des difficultés pour le lait, les couches; il y avait le Secours Catholique, à la Belle de Mai qui nous aidait; c’était vraiment loin avec un bébé [...]
A la Gare Saint-Charles, en face de l’université, le soir, des associations donnent à manger, des repas chauds [...]
Entre temps, j’ai eu la chance de découvrir le Jardin des Aures, lors d’une sortie de la classe de maternelle de mon neveu, que j’accompagnais [...]
Une fois je suis allé au Secours populaire avec une dame de RESF qui nous aidait pour demander un colis alimentaire [...]
Pour les vêtements, je sais qu’au siège des Restaurants du Coeur aux Aygalades – Padouane ils ont pas mal de dons, des habits pour adulte ou enfant qu’on peut récupérer, mais aussi des choses pour la maison, la cuisine…
Il y a un gros marché à des prix très bas, à côté du métro Bougainville [...]
Noailles ce n’est pas mon endroit préféré de la terre mais c’est devenu mon Disneyland quand je suis arrivée à Marseille [...]
À Saint Marcel, dans le 11ème arrondissement de Marseille, il y a une boutique Emmaüs, où on trouve de tout : des vêtements pas chers, des meubles et des électroménagers, de la vaisselle, des livres, des jouets… C’est une boutique solidaire : l’espace de vente est géré par les compagnes et compagnons qui habitent la communauté Emmaüs et les prix sont vraiment très bas [...]
Quand je suis arrivé à Marseille je n’avais qu’un petit sac à dos, puisque je devais rentrer au bout d’une semaine [...]