La demande d’asile et les études
L’impossibilité de rentrer à Diyarbakir signifie aussi l’abandon de ma carrière universitaire, alors que j’étais à deux examens de la fin de mon parcours. J’ai demandé ça aussi, à la Plateforme Asile: pourrais-je terminer ici mes études? Faut-il que j’attende la décision sur mon asile pour reprendre les études en France? Mais il n’ont pas su m’aider, ni me suggérer d’autres structures à rencontrer pour y voir plus clair.
Plus tard, en parlant avec la CIMADE, on m’a conseillé de rencontrer le RUSF (Réseau université sans frontières), qui a effectivement étudié mon cas, m’a renseigné sur mes droits (apparemment il n’est pas nécessaire d’attendre la décision sur mon asile), et m’a mis en contact avec un professeur de la Université Aix Marseille.