La musique et les réseaux informels

Comme je l’ai dit, à l’arrivé tout a été simple, grâce à mon emploi et à l’appartement qui m’a été proposé.
À long terme, c’est surtout les amis français qui m’ont donné les bons tuyaux. Celui qui travaille à l’association, mais aussi ceux que j’ai connus grâce à la capoeira et au samba.
Le fait de faire une activité comme la capoeira, de partager un intérêt et des objectifs avec d’autre gens, crée immédiatement des liens forts sur lequel j’ai pu m’appuyer. Ça n’arrive pas à être une «communauté», mais dans le besoin j’ai reçu de l’aide fondamentale.
De plus, c’est de gens qui font de la musique d’un autre pays, forcement ils sont plus ouverts, plus curieux et plus habitué au voyage que la moyenne, donc plus réceptifs quand un ami qui vient d’arriver a besoin d’information ou d’un coup de main. […]
Un autre italien aussi et un français, connus en jouant du samba, m’ont aidé quand je suis resté sans appartement, en m’hébergeant chez eux pendant quelque temps.

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