Les droits du demandeur d’asile non-francophone…
L’OFII veut parler en français et je dis « Non, je parle anglais », mais elle insiste pour le français. Je leur dis que je n’ai pas d’argent, je supplie de parler avec un ami qui parle anglais, pour qu’il traduise, mais la dame ne change pas de position: on parle français! Je me fâche tellement […] qu’elle appelle la police.
[…] Je me retrouve dehors, devant leur porte, sans un sous…Depuis, je retourne devant leur porte tout les jours, mais elle reste fermée, pour moi.