Au CROUS St. Jérôme, la lutte pour un logement digne

Peut-être que mon expérience de la résidence universitaire, universitaire ne reflétera pas la réalité des choses. Ce n’était pas une bonne expérience du tout : je payais 150 euros, la CAF me donnait 30 euros d’allocation. Les toilettes et la cuisine y sont partagés. Mais le grand problème c’est que le bâtiment était très sale. Ils n’y étaient logés que des Arabes et des Africains subsahariens, aucun blanc ou français, alors il n’y avait aucune maintenance du bâtiment! Il y avait des cafards partout… et je ne connaissais pas bien mes droits à cette époque, et surtout le droit à un logement de qualité et propre comme locataire.
Je conseille aux nouveaux étudiants s’ils font face au même problème de contester le plus vite possible, il faudrait dénoncer en toute force ce phénomène. Le bâtiment ne contient que des immigrés qui, souvent, ne sont pas en mesure de faire valoir leurs droits. Je conseille à n’importe quelle personne qui se trouve dans une situation pareille de contester chaque jour, si l’administration de résidence refuse de changer les choses, il faut dénoncer à un niveau plus haut. Pourquoi ne pas utiliser même les réseaux sociaux, c’est très efficace ces temps ci. Bon il ne faut jamais se taire quand il s’agit d’un droit d’avoir un logement habitable et digne.
J’y ai passé cinq mois, puis j’ai demandé qu’ils me changent la chambre de là-bas, alors ils ont changé pour un autre endroit… sans cafards!

Peut-être que mon expérience de la résidence universitaire, universitaire ne reflétera pas la réalité des choses. Ce n’était pas une bonne expérience du tout : je payais 150 euros, la CAF me donnait 30 euros d’allocation. Les toilettes et la cuisine y sont partagés. Mais le grand problème c’est que le bâtiment était très sale. Ils n’y étaient logés que des Arabes et des Africains subsahariens, aucun blanc ou français, alors il n’y avait aucune maintenance du bâtiment! Il y avait des cafards partout… et je ne connaissais pas bien mes droits à cette époque, et surtout le droit à un logement de qualité et propre comme locataire.

Je conseille aux nouveaux étudiants s’ils font face au même problème de contester le plus vite possible, il faudrait dénoncer en toute force ce phénomène. Le bâtiment ne contient que des immigrés qui, souvent, ne sont pas en mesure de faire valoir leurs droits. Je conseille à n’importe quelle personne qui se trouve dans une situation pareille de contester chaque jour, si l’administration de résidence refuse de changer les choses, il faut dénoncer à un niveau plus haut. Pourquoi ne pas utiliser même les réseaux sociaux, c’est très efficace ces temps ci. Bon il ne faut jamais se taire quand il s’agit d’un droit d’avoir un logement habitable et digne.

J’y ai passé cinq mois, puis j’ai demandé qu’ils me changent la chambre de là-bas, alors ils ont changé pour un autre endroit… sans cafards!