Au CADE ils m’ont expliqué que je n’avais pas de choix, je devais rentrer au Japon pour pouvoir demander un visa français. Mais cette solution posait des problèmes : le premier, l’argent…bien sûr. Le deuxième, une règle fixée par le traité de Schengen, qui dit que si on quitte l’Europe pour rentrer au Japon, on ne peut pas y retourner avant 6 mois. J’ai essayé de trouver des solutions alternatives au retour au Pays ; je suis allé à la CIMADE, dont m’avait parlé un couple d’amis franco-japonais, qui tiennent un restaurant japonais au centre-ville. À la CIMADE, on nous a conseillé de nous marier : un an après le mariage, on aurait pu demander mon visa.